153 ijn (Der Briefwechsel zwischen Goethe und Zelter hrsg. von Max Hecker. Leipzig, 1915. II. p. 238.) ,^-v 'nj je trouvai le moyen de me cotiser avec une societe qui avait deja reuni une partie de 12 florins (25 francs) retribution ordinaire de l'organiste charge jjn de démontrer l'instrument. J On nous joua plusieurs morceaux a grand tapage - vieux style - une bataille ïn> quelconque avec marches militaires, coups de canon, cris des mourants, tan- id. fares victorieuses, marches funèbres et cette sempiternelle pastorale, theme obligé de toutes les exhibitions d'orgues, oü l'on reproduit obstmement les pipaux rustiques, les douces joies de la campagne, les danses des paysans et ïr: surtout l'orage inévitable en pared cas. Blasé comme je le suis sur la musique uit imitative par le sublime poëme de Beethoven, j'avoue que l'improvisation peu i inédite je le suppose, de l'organiste de Haarlem ne produisit sur moi qu un elS effet assez médiocre, mais elle me révéla toutes les ressources de 1 instrument, qui sont immenses, et je me pris a regretter qu'il ne resonnat pas sous les fp doigts de quelque Jean-Sébastien Bach, voire même de quelque Mendelssohn 1.En effet, dans quelques-uns de ses instants lucides, l'organiste executa des compositions des anciens maitres, dont la simplicité ressortait d'une fagon heureuse au milieu de tout cet ambitieux fracas. (Voyage pittoresque en Hollande et en Belgique. Paris 1857. p. 148). eld m, :ur le me ue. sn- ins 'an mn «lie en- :h- ius Pf- lle. las tes 12 lie] in ren er en,

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Jaarverslagen en Jaarboeken Vereniging Haerlem | 1971 | | pagina 155